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JEAN & BÉATRICE

Compagnie Mémoire vive - À PARTIR DE 12 ANS - Durée 1h30

> Vendredi 15 et samedi 16 mars à 20h30

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Texte de Carole Frechette / Mise en scène par Henri Fernandez assisté de Camille Giraudin / Interprété par Solène Castets et Alexis Pottier

Dans son appartement au trente-troisième étage d’une tour, Béatrice attend l’homme qui la délivrera de sa solitude. Elle fait passer une annonce promettant une récompense substantielle à l’homme qui saura l’intéresser, l’émouvoir et la séduire. Jean, un chasseur de primes expérimenté, se soumet aux trois épreuves par appât du gain. Mais Béatrice hausse les enchères : il s’agit en fait d’inventer l’amour. L’appartement se transforme en piège, la rencontre devient un duel. Tour à tour, Jean et Béatrice mettent en scène les gestes de l’intimité, miment les échanges de confidences, les disputes et les réconciliations, le partage du quotidien et l’usure du temps. Chaque tentative est une sorte de théâtre-vérité. Suffirait-il de croire à l’amour pour le faire exister ? Conçue comme un jeu de rêve, cette mise en scène du célèbre texte de Carole Frechette nous invite à explorer le pouvoir du récit sur nos imaginaire.

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UNE IRRITATION

Libre adaptation du roman de Thomas Bernhard « Des arbres à abattre »

Compagnie Mémoire Vive - À PARTIR DE 12 ANS - Durée 1h20

> Vendredi 29 et samedi 30 mars à 20h30

C’est au contact renouvelé de la société artistique Viennoise qu’il s’était juré de fuir il y a trente ans que Thomas Bernhard, spectateur passif d’un dîner chez les Auersberger, déclenche son intarissable monologue intérieur. Porté par les saillies pianistique de Jérôme Mathevon, notre narrateur déplie sa pensée comme un origami aux mille strates, laissant échapper ça et là, les fulgurances qui le caractérisent : haine de l’Autriche, dissection du mensonge sous toutes ses formes, urgence d’écrire - tout est affaire de survie pour ce personnage joyeusement acariâtre. Sa soif de vérité finit par le remettre lui-même en question car au fond, n’appartient-il pas toujours à cette société artistique qu’il abhorre ?

Mise en scène et interprété par Henri Fernandez accompagné de Jérôme Mathevon au piano.

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